Nous n’avions encore jamais vu ça.
Dans le cadre d’une sous-location en faveur de deux jeunes filles, un chiot de 7 mois semblerait être ajouté aux conditions de la location telle une « clause contractuelle ».
Le chien en question appartiendrait au locataire qui sous-loue son appartement.
Un jour, ces deux jeunes filles expliquent avoir claqué la porte de l’appartement derrière elle (sans faire exprès) et demandé au locataire en titre de venir leur déposer un double des clés. Ce dernier refuse.
C’est dans ce contexte que ces jeunes filles décident de s’emparer d’une échelle, de déposer le chiot sur le balcon sans eau, sans nourriture, livré à lui-même et de ne plus revenir.
Encore une situation où des personnes se rejettent la faute, se justifient et se trouvent des excuses.
Pour nous, une seule conclusion est à retenir : les animaux sont toujours ceux qui subissent les conséquences des actes humains, ils sont instrumentalisés dans des conflits au mépris de leur vie.
Informé par le voisinage, nos enquêteurs ont pu intervenir avec la police et saisir ce chiot.
Il serait resté au moins 4 jours sans eau et sans nourriture.
Terrifié au milieu de ses excréments, nos enquêteurs ont pu agir immédiatement grâce au signalement et soulager ce chiot du plus grand combat qu’il n’aurait jamais dû avoir à mener : celui pour sa vie.
Saisi au profit d’Action Protection Animale Animal, Stal s’épanouit dans sa famille d’accueil.
Action Protection Animale a déposé plainte pour abandon volontaire et entend porter la voix de ce loulou au tribunal.