Inutile de parler pour comprendre quand on croise certains regards. Et celui de Filou nous raconte tout. Son cauchemar, sa terreur, sa souffrance indescriptible. On y lit une vie abominable, privée de liberté, d’interactions. Une vie de captif, enfermé dans 3m2 depuis des mois, probablement plus. Dans le noir total. Sans jamais fouler l’herbe. Une éternité à dormir, attendre, manger sur ses excréments qui se sont entassés au fil des mois, rongeant sa peau petit à petit.
Son cauchemar ne sera mis à jour qu’avec l’expulsion de son tortionnaire pour…
