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Elle découvre sur sa caméra que son compagnon torture ses chats lorsqu’elle travaille

Elle découvre sur sa caméra que son compagnon torture ses chats lorsqu’elle travaille

L’horreur et la colère. Se sont les sentiments qui prédominent au visionnage des nombreuses vidéos de celle qui est, elle aussi, aussi une victime.

Suite au décès soudain de son chat en 2022, elle décide de devenir famille d’accueil pour aider ceux qui en ont besoin. Elle se voit ainsi confier 4 chats par une association dont elle s’occupe.

Mais quelque chose la chagrine. Lorsqu’elle rentre il arrive qu’un des chats boîte, ou qu’un autre soit prostré sous un meuble, tremblant alors que le matin, ils allaient bien.

Elle se décide alors à regarder les vidéos de la caméra destinée à les surveiller pour comprendre ce qui peut bien se passer en son absence.

C’est ainsi qu’elle découvre l’horreur. Sur d’innombrables vidéos, elle voit son compagnon s’en prendre très violemment et gratuitement aux chats qu’elle accueille.

Torsion des membres, coups de pieds, écrasements, coups de poings…elle découvre sous le choc qu’il est un tortionnaire cruel qui semble prendre plaisir à infliger ces sévices, allant jusqu’à aller délibérément chercher les chats cachés pour les torturer avec un sourire de satisfaction.

Immédiatement elle pense à son chat, mort brutalement en 2022. Elle l’avait retrouvé à son retour du travail prostré, en état de choc, bavant. Il décédera chez le vétérinaire sans qu’elle ne comprenne ce qui s’est passé. Son désormais ex compagnon confirmera que c’est bien lui qui l’a battu à mort.

Elle prévient l’association qui lui a confié les chats, et dépose directement plainte au commissariat.

Placé en garde à vue, l’individu qui reconnaît les faits a été jugé hier en comparution immédiate devant le tribunal d’Evry où Action Protection Animale était partie civile.

Et le moins que l’on puisse dire est que la peine est dérisoire face à l’horreur des faits : 5 mois de prison avec sursis, obligation de soins et 5 ans d’interdiction de détenir un animal alors qu’il encourait 5 ans ferme et 75000 euros d’amende pour acte de cruauté ayant entraîné la mort.

A croire que pour certains, torturer et lyncher à mort des animaux n’est pas si grave.

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